Quelques témoignages.
Marius, ENAC (1ère année) : "Ma promotion compte 107 étudiants. L'ENAC n'offrait que deux places sur le concours Banque PT, j'étais tellement heureux de l'avoir intégrée ! L'école propose en 2ème année quatre spécialisations différentes : je souhaiterais m'orienter dans les systèmes informatiques du transport aérien".
Loïc, Arts & Métiers (1ère année) : "Mon objectif était d'intégrer les Arts. En 2ème année de prépa, j'ai intensifié mon travail personnel pour me permettre d'y arriver. Je suis ravi que mes efforts aient été récompensés et remercie mes professeurs pour leur préparation". Alexandre, SIGMA Clermont- Ferrand (2ème année) : "Je me sens très bien dans mon école, spécialisée dans la Mécanique Avancée. J'ai eu le plaisir d'y retrouver d'anciens étudiants de la prépa Bourdelle. L'école offre la possibilité de travailler en lien avec de grands groupes, comme Michelin ou Dassault Systèmes".
Lucas, ENS Paris- Saclay (2ème année) : "J'ai choisi de me spécialiser dans la physique des matériaux. L'ENS dispose de systèmes permettant d'étudier finement leur comportement : en déformation, en traction, etc… J'aimerais poursuivre en thèse dans ce domaine".

Je m'appelle Thomas Carpentier, 26 ans et j'ai fait ma prépa au Lycee Bourdelle entre 2014 et 2016 après un Bac S option Sciences de l'Ingénieur.
La classe prépa est une formation exigeante, mais l'équipe pédagogique de Montauban sait parfaitement accompagner les élèves. L'ambiance est bien différente des grosses prépa de Toulouse ou Bordeaux. L'environnement, l'attitude familiale et la taille modeste des promos expliquent le taux de réussite de la prépa Bourdelle. Ayant fait partie de la toute première promotion d'élèves, nous avons mis en place et suggéré des améliorations pour la vie étudiante, qui est bien rodée a présent.
Après les deux années de classe prépa, j'ai intégré l'école des Arts et Métiers. La classe prépa PT prépare parfaitement a cette école, les matières enseignées s'inscrivent dans la continuité des cours de prépa. Les profs de Montauban le savent et entretiennent des liens réguliers avec les écoles d'ingénieurs auxquelles ils nous préparent, notamment les Arts et Métiers.
Je travaille aujourd'hui chez Airbus à Toulouse, où j'ai été embauché directement après avoir été diplômé. Je fais un métier de passion, et le cursus classes préparatoires - école d'ingénieur est la meilleure formation pour y parvenir. En particulier, je recommande la prépa Bourdelle pour l'attention particulière portée à tous les élèves et l'accompagnement proposé.
Merci pour ces années !
Thomas

Renan D, (Première promotion), (82) Arts et métiers Bordeaux, puis Auditeur financier senior chez EY à Paris.
Après mes deux années de prépa à Montauban j'ai intégré les Arts et Métiers à Bordeaux, où j'ai passé 2 ans pour finir mon cursus sur une dernière année sur le campus de Paris.La partie école, outre les cours magistraux, les TD et TP, a été jalonnée de visites d'entreprises, de journées avec des ingénieurs (effectuées dans une société dans la construction avec des ingénieurs méthode, bureau d'étude et des conducteurs de travaux) et de stages (un stage ouvrier en 1ère année et un stage d'assistant ingénieur, effectué pour ma part en Angleterre pendant 3 mois en gestion de production dans une société construisant des machines outils).Ma dernière année en école d'ingénieur a été marquée par un stage de fin d'étude et depuis ce SFE je travaille dans le secteur de l'audit financier et du conseil en contrôle interne et financier (virage à 180 degrés n'est-ce pas).Le métier est plus connu des étudiants en école de commerce que d'ingénieur et consiste, pour la partie audit à agir en tant que tiers de confiance pour assurer les parties prenantes d'une entreprise par exemple (actionnaires mais aussi clients, fournisseurs, salariés ou représentants des salariés) que les comptes de l'entreprise sont "corrects" et que celle-ci remplit toutes ses obligations légales.
Une question peut légitimement venir à l'esprit : pourquoi avoir fait 2 ans de prépa ingé, 3 ans en école d'ingénieur pour finalement officier dans un job où on ne mettra pas en pratique ce qu'on a vu ? Au fond que m'a apporté la prépa ?La CPGE c'est une formation technique et scientifique très complète et dense mais c'est avant toute chose une formation qui vous fait progresser intellectuellement en tant que personne : on y apprend l'organisation, la priorisation des informations et des tâches, à synthétiser ses idées, à mettre en question ses connaissances en permanence, la prépa m'a également fait développer une envie d'éveiller ma curiosité, d'apprendre et de comprendre ce que je fais, ce que je vois. C'est en quelque sorte un orgasme intellectuel qui dure 2 ans (ou 3 pour ceux qui deviennent addict).La prépa donne ce cadre là, mais pour le sublimer il faut que les chefs d'orchestres (ou meneur de jeu si vous êtes plus portés sur le sport) soient à la hauteur. Pour ma part je garde d'excellents souvenirs de l'équipe enseignante, dont une bonne partie est encore en poste, qui transmet son savoir avec une envie communicative. Ce sont eux qui ont rendu, pour l'aspect apprentissage du moins, ces deux années incroyables et qui ont développé chez moi cette soif d'apprendre et de nourrir ma curiosité personnelle. Côté infrastructure Bourdelle nous a aussi donné toutes les chances de réussir grâce à l'internat et la pension complète qui sont des atouts non négligeables pour :1. le moral : quand quelqu'un avait un coup de moins bien, il y avait toujours des copains pour proposer une partie de tennis-ballon dans l'internat ;2. le travail : l'internat et les salles d'études mises à disposition facilitent l'échange et ont été bénéfiques tant pour ceux qui avaient besoin d'aide que pour ceux qui aidaient et révisaient du même coup leurs connaissances ;3. Pas de temps de trajet, pas besoin de se soucier de faire à manger, la vaisselle, le ménage etc, on a pu se concentrer sur nos études à 100%. Renan D, Février 2023.
Axel C, (Première promotion) (31) Centrale Nantes puis Ingénieur essais et mise en service de systèmes fluides sur le projet de construction de centrale nucléaire Hinkley Point C, Framatome.
«Je souhaitais vraiment m'orienter sur une carrière à l'international et Centrale Nantes est l'école parfaite pour moi. Avoir été pris dans cette classe préparatoire toute nouvelle qui venait d'ouvrir à Montauban a été une vraie chance pour moi. J'y ai trouvé une solidarité que je n'imaginais pas dans de telles classes. Même si on cherchait tous à décrocher l'entrée dans une grande école, il n'y a jamais eu de concurrence entre nous et l'entraide a toujours été importante. Je suis très heureux et fier de revenir aujourd'hui défendre cette formation.»
Julien L, (Première promotion) (82) , Magistère physique à l'université de Paris Diderot puis titulaire de l'Agrégation de Physique-Chimie et actuel thésard à l'Institut Laue Langevin.
«Je vise aujourd'hui un Capes de physique et pourquoi pas l'agrégation après. J'attends avec impatience mon premier stage en laboratoire pour voir si je suis fait pour la recherche. Je ne me fixe aucune limite dans mes études depuis mon passage en prépa. La formation que j'ai suivie pendant deux ans m'a libéré et m'a apporté beaucoup de motivation. Le groupe d'élèves était très soudé et je ne regrette pas d'avoir fait le choix d'être interne pour rester dans cette ambiance de travail durant les soirées.»
Claire M (Première promotion), (31) Arts et métiers, puis à la découverte d'un nouveau métier : l'ébénisterie.
«Je garde un excellent souvenir de cette classe où l'ambiance avec les autres élèves mais aussi l'équipe d'enseignants était très conviviale. À comparer avec d'autres prépas, on était peu nombreux à Montauban ce qui nous offrait un suivi extraordinaire des profs et parfois même un petit côté familial. Si j'ai atterri là, je reconnais que c'était un choix par défaut n'ayant pas été prise à Toulouse - Déodat. Mais aujourd'hui, je ne regrette rien. D'ailleurs, si j'ai été prise à Arts et Métiers, preuve que la formation a été de haut niveau...»